l'hisoitre de Aragorn555

aragorn555 a écrit:

Bon je la remt mais sa m'ennerve les gens comme cela .

bah je ne pensai pas que tu allais le prendre comme ça mais une histoire sans fautes ça incite plus à lire qu'une histoire "parsemée" de fautes.

tkt j'était énnervé.

CHAP 2 : LES RENFORTS ARRIVENTS



Matheor et ses cavaliers galopaient depuis une demi-journée ne s’arrêtant que pour reprendre leurs souffles .
Matheor trouva un coin tranquille près d’une source d’eau où ses hommes et leurs montures purent enfin se désaltérer .
Dowlu descendit de son fidèle destrier et se tourna vers Matheor.
-Combien d’hommes crois-tu que nous pourrions convaincre de nous rejoindre dans le village de khûn !
-Je ne sais point fidèle ami, mais je pense que Grâce à la renommé de notre cité je ferais venir assez d’homme pour cette guerre prochaine.

Après quelques instants, Matheor et Dowlu se remirent au galop, près à faire quérir tout homme sachant tenir une arme.

Matheor arriva enfin au village. Le village de Khun était le plus grand de la région et il était connu grâce à ses terres fertiles et au dressage de chevaux.
Lorsqu’ils arrivèrent à l’entrée du village, une grande palissade en faisait le tour entre coupée de 4 tours de guets .
Deux gardes munis d’une grande lance et revêtus d’une armure ouvragée stoppèrent Matheor.
-Qui êtes vous étranger ?
-Je suis Matheor, fils de Dewolun et Prince de la cité de Lumberdor.

Les gardes se regardèrent et d’un hochement de tête laissèrent entré Matheor. Dowlu voulu entrer mais les deux lances s’interposèrent.

-Tu ne peux pas rentrer.
- Il faut que j’y aille seul. Attend moi avec mes hommes.

Alors Dowlu obéit.

Matheor arriva sur la petite place du village. Il voulut se renseigner auprès d’un homme âgée, pour trouvé le chef de ce village.

-Vieille homme, pourriez vous m’amener à votre chef ?

Un sourire se dessina sur le visage du vieille homme.
-Vous me demandez ?
-Euh … excusez moi, je viens chercher de nouvelles recrues pour défendre notre cité contre ces chiens de Harad !
-Ah je pense que vous êtes le prince Matheor fils du seigneur Dewolun de la cité de Lumberdor.
-Oui c’est exact.
-Que venais vous faire dans ce piètre village.
-Il faut que je rassemble le plus d’hommes possible pour lutter contre l’armée du Harad qui nous attaquera dans une poigné de jours.

Le vieillard se gratta la tête et après quelques secondes d’absence il fit un signe de tête.

-Prenez autant d’homme que vous voudrais. Je n’en possède qu’une centaine , mais cela penchera peut être l’issue du combat en votre faveur ?
Matheor sourit et allait s’en aller mais le vieillard l’interpella.
-Je viens avec vous .
Matheor ne pouvais pas refuser. Cette occasion était peut être la dernière avant la grande bataille. Alors il acquiesça d’un signe de tête.
-Bon je vais informer mes hommes de la situations. Je serai de retour dans quelques minutes

Le vieillard s’en alla vers le bastion et alla voir une personne aux longs cheveux dorés. Leur conversation ne dura pas longtemps. Il posa sa main sur l’épaule du jeune homme lui marmonna quelques mots et retourna près de Matheor.

-Quand devons-nous vous rejoindre ?

Au 5ème jours devant l’avant poste du Fleuve Poros qui se situe au Nord Est .
Matheor fit un dernier signe de la main au vieillard puis il repartit avec Dowlu et ces hommes.
-Alors tu y es arrivé ?
-Oui mais je sens que nous devons nous hâter, j’ai un mauvais pressentiment. J’ai peur qu’en 6 jours, le harad puisse aisément pénétrer dans la cité et la réduire en cendre.
Inquiet Matheor repris la route.

Tout aller pour le mieux. Au fil des jours en jours plusieurs chefs venaient en renforts.
Au 5ème jours tous les hommes étaient prêt. Ils allèrent rejoindre l’avant poste. Tous les soldats étaient réunis, plus de 700 hommes était venue et quelques chefs les accompagnaient.

Le vieillard de Khun était là aussi, il s’approcha de Matheor.
-Voilà, j’ai réuni mes hommes pour vous aider. Comme, il y a bien longtemps, je l’avais promis à votre père de le faire.
-Vous connaissait mon père ?
-Oui nous avons fréquenté la même école d’arme, et nous avons combattu plusieurs fois ensemble. J’aimerai le revoir, ça fait très longtemps maintenant.
-Ah et bien ce sont des choses dont j’ignoré l’existence. Et comment vous appelez vous ?
-Je suis Bénios fils de Labsron.
Matheor quitta Bénios et ce plaça devant tout les soldats réunis et d’une voix puissante déclara :

-Soldat et chef des villages de Harrondor. L’ennemie est près à nous attaquer, Mais nous aussi. Nous somme rassemblés en ce jour sous une seul bannière. Celle du Gondor ! Maintenant mes chers frères, galopons jusqu'à Lumberdor.

Tous les soldats obéir à l’ordre et partirent vers la cité.

Après une journée de galop , Matheor arrivait vers sa cité.
De la fumée s’étendait au loin. Matheor était inquiet, et se précipita pour aller voir son point d’origine, c’était la cité. Au loin, les flammes s’étouffaient laissant échapper de longues et épaisses fumées noirs. Matheor et Dowlu s’approchèrent et au loin Bénios les attendait .
Arrivés au pied de la muraille, des milliers de cadavres gisaient sur le champ de bataille. Voici, toutes les horreurs de la guerre. D’énorme engin de siège était placé. Des dizaines d’échelles posées sur les murs de la cité. Matheor descendit de son fidèle destrier et couru vers le haut de la cité, là ou se trouvait le palais royal. Toutes les portes étaient enfoncées, les gons avait sautés. On aurait dit un tapis de cadavre à cause des corps qui se confondaient.
La haut, la salle brûlait et aux portes le cadavre des gardes. Quand il leva les yeux il découvrit aussi son père, allongé sans un souffle de vie, le visage déformé pas la douleur. Tout était finit!

Il est bien de ce 2ème chapitre hâte de voir le troisième

Citation :

je pense que mon charisme

Généralement, les héros n'utilisent pas cette formule, ils diraient plus: "Grâce à la renommé de notre cité", ça fait mieux.

Citation :

quérirent

Quérir

Citation :

voudrais

voudrez

J'aime bien le fait que le cherf soit un vieillard et que ton héros 'appele "vieillard" au début.

Citation :

ces hommes

Ses hommes

Citation :

Soldat et chef des villages

SoldatS et chefS de villages

Citation :

Tous les soldats obéir

obéirent

Citation :

Matheor arrivé

arrivAIT

Citation :

De la fumée s’étendais

s'étendait


Très belle histoire, j'en pleure... Non, elle est bien, et elle est triste

PS: Pour les fautes, c'est pour t'aider, par pour te faire chier.

Merci beaucoup je vais corrigé ces vileines fautes

J'ai adoré le deuxième chapitre j'ai hate de voir le troisième.

c'est pour vous dire que vous aurez le chap 3 sesoir surrment mais il me reste des milliers de modifications à faire allez a+

PS: le chap 1 et chap 2 vien d'être rassemblé.

CHAP 1 : LUMBERDOR CITE OUBLIEE.


Nous voici en l’an 3004 du troisième âge bien avant que les orques envahissent une fois pour toute Osgiliath.

Depuis des lustres le Harad grappille les territoires de la région Harondor. Le Harondor est une région qui n’est presque pas habitée par la civilisation gondorienne à cause des dangers qui la menace mais quelques villages y sont installés et restent pour lutter contre les attaquent du Harad. Il ne reste plus qu’une cité debout, convoitisée par l’ennemie et depuis longtemps assaillie, mais celle-ci est encore libre. Avant le Harondor était habité par plusieurs villes mais depuis que le Harad s’est installé. LA civilisation s’est dispersée et migrée vers le Gondor.

Nous voici à Lumberdor cité construite sur les ordres de Anarion 1er en l’an 7 du troisième âge. Elle fut construite de pierre blanche qui proviennent des morceaux de roches détachées par la cascade d’Argonath. Lumberdor était autrefois une puissante cité mais qui aujourd’hui est tombée dans l’oubli. Elle ne connut que guerres et batailles, tenant toujours avec courage et détermination.
Lumberdor était habitée par 5000 habitants dont plus de la moitié étaient des soldats.
Le chaos commençait à prendre le dessus, et les armées du mal s’accroissaient de jour en jour.
Lumberdor ne recevait pas que des armées du Harad mais également, des troupes d’orques et d’orientaux venus pour installer des postes dans toute la terre du milieu mais toujours repoussé par ses habitants.

Comme chaque lundi, la garnison partait s’entraîner près du fleuve Poros qui se trouvait à 30 kilomètres de Lumberdor. Elle revenai souvent le mardi dans la matinée.
Les quelques cavaliers de la cité allai chercher de nouveaux hommes dans les villages voisins pour se préparer contre les attaques du Harad, qui les harcelaient constamment.

Les chevaux commençaient à devenir rare à cause de la végétation parsemée. Mais quelques terre fertile restaient pour nourrire le peuple. Le Harad en profitait lors de leurs attaques pour voler aux paysans leurs chevaux.

Ce jour là, 37 hommes venaient d’arriver avec leurs chevaux et leurs bétails. Ce n’était que de simples forgerons, fermiers ou garçon d’écurie. Mais ces hommes valaient de l’or pour le roi lors des attaques. Les recrues étaient très efficaces contre l’ennemie car ils ne dévoilaient jamais leurs tactiques.
On ne leur laissait pas une journée de repos, ils étaient tout de suite convoqués et étaient entraînés. Ce n’était pas pour un grand enseignement des années durant, mais juste un apprentissage pour savoir tenir une épée, un bouclier, une lance ou un arc.
Souvent les capitaines ne revenaient pas des batailles très nombreuses en ces temps sombres. Alors souvent les meilleurs hommes recrutés étaient nommés capitaine.

Le roi Dewolun n’était pas un puissant seigneur et n’avait aucune influence sur les autres régions, en faite, il n’était connu que dans le Harondor. Il était très apprécié par le peuple et les soldats. Dewolun avait un fils qui s’appelait Matheor. Noromwë, sa femme avait perdu la vie lors de la bataille du Marteau de fer qui fit beaucoup de morts.


Matheor était la personne qui représentait l’honneur et la bravoure. Lors des combats il était toujours présent et redonnait espoir aux hommes. Matheor avait hérité de la blondeur de sa mère, ce qui était assez rare chez les Gondorien et il était de forte carrure. IL passa son enfance entre les guerres et l’amour de sa mère. A l’âge de 15 ans il commença à combattre l’ennemie et possédait déjà des hommes, le dernier des survivants devient son meilleur ami. Aujourd’hui, Matheor a 32 ans

Dolwu est un soldat de 47 ans qui vit de nombreuses batailles durant tout le long de sa vie. Il avait perdu ces deux frères, son père et sa mère dans une bataille, et il défendit toujours son chef (ou plutôt son meilleur ami), ce qui lui redonna l’envie de se battre pour toutes les personnes qui lui sont chères. Matheor et Dolwu étaient comme des frères. Ils étaient toujours ensemble, même dans les cas d’urgence

Un beau jour de Mars, son père appela Matheor dans la cour royale :
-Père, m’avez-vous demandé ? je me suis hâté dès que possible!
-Mon fils, je me fais vieux et je ne peu plus me déplacer depuis la dernière bataille. Je voudrais que tu ailles avec ton armée quérir autant d'hommes que tu pourras .Tu n’as que 8 jours, et après, la guerre !
Un messager Harad est venu ce matin, Il informa que toutes les armées du Harad allaient attaquer dans une dizaine de jours.
Je préfère que tu reviennes le plus tôt possible pour la préparation des défenses.


Matheor fit un signe de tête et mis son heaume sur sa tête et s’en alla chercher son armée qui allait l’accompagner. Le lendemain il était partit avec 22 de ces hommes dont son ami Dolwu qui l’accompagnait comme d’habitude.
-Alors mon vieil ami prêt pour partir à l’aventure ?
-Toujours. Avec toi c’est un jeu d’enfant.
Et d’un galop rapide ils partirent dans un premier village.


Matheor et ses cavaliers galopaient depuis une demi-journée sans arrêté une seul seconde.
Matheor trouva un coin tranquille près d’une source d’eau ou ses hommes et leurs montures purent enfin se désaltéraient.
Dowlu descendit de son fidèle destrié et se tourna vers Matheor.
-Combien d’hommes crois-tu que nous pourrions convaincre de rejoindre dans le village de khûn !
-Je ne sais point fidèle ami, mais je pense que mon charisme fera venir assez d’homme pour cette guerre prochaine.

Après quelques instants,Matheor et Dowlu se remirent au galop, près à faire quérirent tout homme sachant tenir une arme.

Matheor arriva enfin au village. Le village de Khun était le plus grand village de la région et il était connu grâce à ses terres fertiles et au dressage de chevaux.
Lorsqu’ils arrivèrent à l’entrée du village, une grande palissade en faisait le tour entre coupée de 4 tours de guet.
Deux gardes munis d’une grande lance et revêtu d’une armure ouvragée stoppèrent Matheor.
-Qui êtes vous étranger ?
-Je suis Matheor, fils de Dewolun et Prince de la cité de Lumberdor.

Les gardes se regardèrent et d’un hochement de tête il laissèrent entré Matheor. Dowlu voulu entrer mais les deux lances s’interposèrent.

-Tu ne peux pas rentrer. Il faut que j’y aille seul. Attend moi avec les hommes.

Alors Dowlu obéit.

Matheor arriva sur la petite place du village. Il voulut se renseignai auprès d’un homme âgée, pour trouvé son chef .

-Vieille homme, pourriez vous m’amener à votre chef ?

Un sourire se dessina sur le visage du vieille homme.

-Vous me demandez ?

-Euh … excusez moi, je viens chercher de nouvelles recrues pour défendre notre cité contre ces chiens de Harad !

-Ah je pense que vous êtes le prince Matheor fils du seigneur Dewolun de la cité de Lumberdor.

-Oui c’est exact.

-Que venais vous faire dans mon piète village.
-Il faut que je rassemble le plus d’hommes possible contre l’armée du Harad qui nous attaquera dans une poigné de jours.

Le vieillard se gratta la tête et après quelques secondes d’absence il fit un signe de tête.

-Prenez autant d’homme que vous voudrais. Je n’en possède qu’une centaines , mais cela vous aidera-t-il pour la bataille ?

Matheor sourit et allait s’en allé mais le vieillard l’interpella.

- Je viens avec vous .

Matheor ne pouvais pas refusé. Cette ocasion était peu être la dernière avant la grande bataille. Alors il acquiesça d’un signe de tête.

-Bon je vais préparé une centaines d’hommes à cheval. Je m’absente quelques minutes je reviens de suite.

Le vieillard s’en alla vers le bastion et alla voir une personne au long cheveux doré. Leur conversation ne dura pas longtemps. Il posa sa main sur l’épaule du jeune homme lui marmonna quelques mots et retourna près de Matheor
.
-quand devons-nous vous rejoindre ?

Au 5ème jours devant l’avant poste du Fleuve Poros qui se situe au Nord Est .

Matheor fit un dernier signe de la main au vieillard puis il repartit avec Dowlu et ces hommes.

-Alors tu y es arrivé ?

-Oui mais je sens que nous devons nous hâter, j’ai un mauvais pressentiment. J’ai peur qu’en 6 jours, le harad pourrai aisément pénétrer la cité et la détruire.
Inquiet Matheor repris la route.

Tous allez pour le mieux. De jours en jours plusieurs chefs venaient en renforts.

Au 5ème jours tous les hommes étaient prêt. Ils allèrent rejoindre l’avant poste. Tous les soldats étaient réunis, plus de 700 hommes était venue et quelques chefs les accompagnaient.

Le vieillard de Khun était là aussi, iL s’approcha de Matheor.

-Voilà, j’ai réunis mon armée pour vous aider. Comme, il y a bien longtemps, je l’avais promis à votre père de le faire.

-Vous avez connue mon père ?

-Oui nous avons fréquenté la même école d’arme, et nous avons combattus plusieurs fois ensemble. J’aimerai le rencontrer, cela fait très longtemps que je ne les pas revue.

-Ah et bien ce sont des choses que ma caché mon père. Et comment vous appelez vous ?
-Je suis Bénios fils de Labsron.

Matheor d’une voix puissante déclara :

-Soldat et chef des villages de Harrondor. ,L’ennemie est près à nous attaquer, Mais nous aussi. Nous somme rassemblé en ce jours sous une seul bannière. Celle du Gondor ! Maintenant mes chers frères, galopons jusqu'à Lumberdor.

Tous les soldats obéir à l’ordre et partirent vers la cité.

Après une journée de galop , Matheor arrivé vers sa cité.

De la fumée s’étendais au loin. Matheor était inquiet, et se précipita pour aller voir d’ou venait la fumée, c’était la cité. Au loin, les flammes s’étouffer laissant échapper de longues et épaisses fumées. Matheor et Dowlu s’approchèrent et au loin Bénios les attendais .
Arrivais au pied de la muraille, des milliers de cadavres gisaient sur le champ de bataille. Voici, toutes les horreurs de la guerre. D’énorme engin de siège était placé. Des dizaines d’échelles posé sur les murs. Matheor descendit de son fidèle destrier et couru vers le haut de la cité, là ou se trouvait le palais royal. Toutes les portes étaient enfoncées, les gons avait sautés. On aurait dit un tapis de cadavre à cause des corps qui se confondaient.
La haut la salle brûlaient et aux portes le cadavre des garde de son père.. Quand il leva les yeux il découvrit aussi son père, allongé sans un souffle de vie, le visage déformé pas la douleur. Tout était finit

C'est mieux détaillé je préfère cette version ci que l autre

Vpoilà le chapitre 2 va arriver !

Bon en faite laissez tombé ce chapitre 2 la un meilleur arrive bien mieu vous pouvrez le demandez à turgon lol il aime bien aussi.

CHAP 2 : MISSION DESESPEREE.



Trois ans s’étaient écoulés depuis, Matheor était devenu le roi de cette cité. Sur son ordre elle fut reconstruite et brillait de splendeur. Les portes avaient été renforcées, et semblait indestructible pour les habitants. Sur les remparts des trébuchets et des tours d’archers avaient été construits pour résister à un éventuel assaut. Elle paraissait imprenable avec ses trois niveaux. Et pendant ces trois ans, la cité ne connut qu’une paix qui semblait infinie. Mais Matheor, pendant ces longues années, n’avait souhaité que de venger la mort de son défunt père, mais la priorité soit de renforcé la cité avant de repartir en campagne.
-Voici enfin, notre cité reconstruite. Je suis heureux quelle ne fût point tombée dans les mains de ces Haradrims, dit Matheor.
-Oui, votre père aurait souhaité ceci. Je suis sur qu’il vous admire de là où il est, répondit Dowlu
-Je l’espère mon ami, car c’est son anniversaire aujourd’hui. Il aurait fêté ses 52 ans.
-Ne vous tourmentez pas ainsi.
-Je promets que je vengerai mon père. Les personnes qui ont commis cet acte mourront de mes propres mains.


Le soir venu, tous les habitants de la cité s’étaient rassemblés. Matheor sortit du palais, et salua les soldats et tout villageois, puis commença à parler.
-Cela fait trois ans maintenant que notre roi, mon père, nous à quitté. Pendant ces trois années, chaque minute de votre temps, vous l’aurez consacré pur le bien être de cette nouvelle cité. Je voudrais que cette soirée soit dédiée pour notre défunt roi.
Le peuple fut pris de tristesse devant le discours de Matheor, et une grande fête fut organisée dans la cité. Toute la nuit, banquet et spectacles réjouir le cœur de toute la cité.
-Comment te portes-tu, Matheor, demanda Dowlu
-Je me sens soulagé de parler de mon père. J’ai hâte que justice lui soit faite.

Au zénith d’un jour d’été en l’an 3007 du troisième âge, un émissaire Gondorien fut admis dans la cité. Il demanda à obtenir une audience de l’actuel roi de la cité, Matheor.
-Mon seigneur Matheor. Nous avons ordre de vous amenez à Minas-Tirith. Notre intendant doit vous parler.
Matheor répondit alors :
-Vous m’ordonnez… Denethor se croit toujours mon seigneur après avoir laisser brûler ma cité, et laisser mon père ?! Pourquoi me fait-il quérir ?
Il s’agit d’un enlèvement. Quant à notre absence à la défense, c’est parce que nous même avons été attaqué dans Osgiliath.
Matheor réfléchit longuement avant de prendre sa décision.
-Dowlu. Je voudrais que tu restes cette fois ci au château. L’intendant Denethor ma demandé de venir. Je n’en aurais que pour 3 jours environ. Bénios vous m’accompagnerait pour ce voyage. Dowlu, je te laisse la cité.


Matheor et Bénios se revêtirent de leurs armures, caparaçonnèrent leurs montures et suivirent l’émissaire jusqu’à Minas-Tirith.

Après une journée de galop, Matheor vit enfin la blancheur des murs de Minas-Tirith, « La tour de Garde » en ancien langage dit-on. Matheor se souvenait des deux premières fois où il avait visité la cité des rois… Et même au bout de son troisième et actuel voyage, il était sûr de l’être toujours autant. Deux soldats les conduisirent dans une auberge où ils purent se restaurer.
-L’intendant vous recevra demain dans la matinée. En attendant reposez-vous bien. Ce voyage à du être épuisant pour vous. Au revoir.


Le lendemain matin vers 8 heures les mêmes soldats allèrent réveiller Bénios et Matheor. A leur grande surprise, ce dernier était déjà préparé.
-Bon suivez-nous, l’intendant vous attend.
En arrivant face à la Citadelle, Matheor ne put s’empêcher de regarder l’arbre Blanc du Gondor, l’arbre des rois, ainsi que les gardes qui l’entouraient. Leurs visages semblaient figés.
-Par ici !
Ils avancèrent le long d’un couloir tout en marbre ou plusieurs statues des rois jadis étaient exposées. Un souffle d’air frais passa derrière la nuque de Matheor… Voir ces statues lui provoquait toujours les mêmes frissons…
Au fond de la pièce se trouvaient deux grands trônes. Sur l’un d’entre eux, le plus petit, était assis Denethor, fils d’Ecthelion.
-Vous voilà ! Bienvenue dans ma cité, s’exclama-t-il. Savez vous pourquoi j’ai fait appelle à vous Matheor ?
-Non. On m’a juste dit qu’il s’agissait d’un enlèvement.
- C’est exact. Un de nos généraux à été fait prisonnier dans la région de Khand, dans la cité de Lurdrak précisément. Seul un guerrier aussi expérimenté que vous pourrait nous le ramener. Si vous y arrivez l’argent coulera à vos pieds, et vous pourrez... Améliorer la défense de votre cité… Pour le soldat, vous le reconnaîtrez par sa balafre sur son visage.
-La région de Khand est éloignée est dangereuse. Comment un simple mortel comme moi pourrait arriver à passer la frontière du Mordor, s’aventurez en terre de Khand allez vers la cité de Lurdrak pour revenir avec l’otage. Sans compter que le chemin passe par le Harad, où je ne pourrais retenir mon épée si je voyais ne serait ce qu’un seul de ces habitants…
-Je n’ai jamais dit que vous serriez seul. Vous serrez accompagné par mes meilleurs hommes.Nos 5 meilleurs soldats de tout le Gondor.
Après un bref instant Matheor répondit :
-C’est d’accord mais si je réussi votre mission désespérée, je voudrais que vous soyez là vous et vos hommes quand nous aurions besoin de vos services et qu’une de vos légions soit envoyée dans ma cité pour la défendre lors de mon absence.
-Votre proposition est acceptée. Vous partirez dans deux jours. Maintenant vous pouvez disposer.
Bénios et Matheor sortirent du palais et allèrent directement chercher leurs montures pour partirent le plus vite possible.
Bénios n’avait pas l’air rassuré.
Comment vas-tu faire pour passer la frontière entourée d’hommes inconnus !
-Qui t’ont dit que je partirai avec eux ! En faite, je voudrais que tu m’accompagnes.
-Euh je voudrais bien mais à nous deux… Dowlu pourrait nous accompagner.

-Bonne idée. Tel que je le connais il n’est pas du genre à refuser une mission d’une aussi haute importance.
Pendant toute la journée Matheor et son compagnon galopèrent sans aucun arrêt. Il arrivèrent en fin de soirée vers Lumberdor. 8 gardes leurs ouvrirent la porte épaisse de la cité. Matheor descendit de sa monture et alla rencontrer Dowlu qui siégé lors de son absence sur son trône.
-Dowlu vieux frère !
-Ah te revoilà. Tout c’est bien passé lors de ton absence.
-Je dois te parler. L’intendant Denethor à besoin de nous pour une mission. Je voudrais que tu m’accompagne lors de cette mission.
-Oui et elle consiste à quoi ?
-Je te le dirais demain.
Matheor gagna sa chambre et se reposa, méditant sur les dangers de la mission.


Le lendemain matin Matheor se réveilla à l’aube comme tous ses compagnons impatients de rencontrer les hommes soi disant « les bêtes du Gondor » qui allait les aider. Il ne connaissait n’y les noms et ne savais même pas le nombre, l’intendant Denethor allait en envoyé. 2, 10,50,100, 1000. il se demandait avec impatience qu’elle serons les hommes qui viendront lors de cette quête. Matheor se leva, mis une redingote et alla vers la chambre de Bénios. Il toqua 3 fois et entra dans la pièce. Aucune personne ne si trouvait. Bénios n’était plus là.
-Bénios, Bénios tu es là ? Oh non il s’est défilé. Il s’habilla et alla chercher Dolwu.
-Qui à t’il Matheor ?répondit avec tourment Dowlu
-Bénios nous à abandonné,
Le visage du roi se déforme lentement vers la tristesse
-Bonjour tout le monde !
Matheor sursauta.
-Bénios… je croyais que tu t’étais sauvé. Merci.
-Non j’était prévenir mon fils de mon départ.
-Euh excuse-moi Bénios mais j’ai cru que tu t’étais enfui de peur de mourir.
-Non ne t’inquiète pas je ne laisse pas tombé les amis.
- Combien d’hommes seront avec nous pour cette mission ? demanda Dowlu.
- 8. Bénios, toi moi, et les 5 hommes envoyés par Dénéthor. IL devrait d’ailleurs bientôt arriver
Une villageoise écoutée de loin la conversation sans que personne ne la remarque .
-J’ai envoyé un groupe d’émissaire convoquer le cousin de mon défunt père il devrait venir vers l’après midi.

Un bruit de galop se fit entendre dans la plaine du brin de sang ou Lumberdor se situe Lumberdor.
Au loin 5 silhouettes apparurent, leurs armures brillants et reflétants les rayons du soleil.
-Enfin ils arrivent ! s’exclama Matheor

Pas mal le deuxième chapitre j'ai bien aimé. j'attend la suite avec impatience. Mais qui est donc cette mystérieuse villageaoise?^^

Bon j'aime bien un peu normal vu que je contribu à l'histoire. C'est pas extraordinnaire mais pour quelqu'un de 14 ans (remarque j'en est que 15) c'est bien plus que correct.

Oui et merci à turgon brucelee et darbeïs qui m'aide pour la correction de toutes les fautes que je sème. Sinon moi je trouve que cette histoire va marcher. Après quand elle sera finis je la poste sur"je bouquine" et j'attends une réponse. Lol un peu trop d'espoirs mais c'est ceci qui fit vivre

Je ne veux pas être dur, mais même avec trois relecteurs (si j'ai bien compris) tout cela reste d'un français et d'une orthographe déplorables. Au point que je n'ai pas tout lu. Pourtant, il y a de la matière et du travail.

Citation :

Après quand elle sera finis je la poste sur"je bouquine" et j'attends une réponse. Lol un peu trop d'espoirs mais c'est ceci qui fit vivre

Quand elle sera finie, je la posterais sur"je bouquine" et j'attendrais une réponse. Un fol d'espoir peut-être, mais c'est ce qui fait vivre.

Je sais que tu aimes être dur lol mais bon moi j'adore faire des histoire et même si l'orthographe n'est pas prometteur je vais l'améliorais

lol je suis quand même à mes début, faut commencé doucement, masi moi je trouve que l'histoire que j'ai choisi est pas mal.

Ai-je prétendu le contraire ? Et à ton âge, ce que tu entreprends est louable. Et non dépourvu de mérite.
Mais un simple correcteur orthographique/grammatical ferait déjà des miracles. Un peu de relecture plus soignée, aussi.
Comment cela, j'aime être dur ? Non, je suis dur, vil et méchant... Par essence, nature et destination... Qui aime bien châtie bien, disait l'autre...

Oui tu a sans doute raison. Je vais tout rzlire et le passé après encore correction à ma proff de français.puis encore quelques amélioration et je crois que ce va bien le faire, enfin j'espère

Citation :

Je sais que tu aimes être dur lol mais bon moi j'adore faire des histoire et même si l'orthographe n'est pas prometteur je vais l'améliorais

J'aime bien cette phrase, car on reconnais que Aragorn veut s'améliorer (je vais m'améliorER).


A Fyndhhorn: Mais à part l'orthographe (j'ai utilisé le correcteur ortographique sur ma partie, mais il y a eu des rajouts plus tard), qu'est ce qu'il (ne) te plait (pas) dans l'histoire?

Ah quand vous parlez de fautes c'est bon à peine au premeir chapitre les deux première page, ma mère à trouvé 47 fautes lol. en plus pou le premiers chapitre , il y en a 7 de pages alors elle aura du boulo