l'Anneau Unique
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Forum de discussions sur le Jeu Le Seigneur des Anneaux par Games Workshop
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion

 

 Le Journal de Mûrakir

Aller en bas 
AuteurMessage
georg
Averto (1):
Averto (1):
georg


Masculin Nombre de messages : 295
Age : 31
Localisation : Pourquoi tu veux savoir? (si c'est une fille ca va)
Armée(s) Jouée(s) : Harad, NN, Mahûd, Pirates, et des désertiques de Harad
Date d'inscription : 13/09/2006

Le Journal de Mûrakir Empty
MessageSujet: Le Journal de Mûrakir   Le Journal de Mûrakir EmptyJeu 10 Mai 2007 - 22:30

Mûrakir était un lieutenant de Sûladan (son bras droit)

Ce qui suit n'atteind en aucun cas l'oeuvre de Tolkien, mais certaines chose ici et là seront peut-être trop GW^^

Mais bon...

Un jour de Novembre, 3017

J'était perdu, j'était faible, j'était recherché, je n'était plus qu'un fantôme, un fantôme qui essayait de sortir d'un endroit d'où on ne sortait pas... J'ai essayé de me rappeler mes derniers souvenirs... un coup de tonnerre venant de la colline... une vague noire d'ou jaillissait un serpent énorme... des cris... des cris... et puis...
Un vent sifflant venant de l'Ouest et une terre arride et mouvante. Comment était-je arrivé la? Je ne le sais pas... Mais je me rappelle de la bataille.

Il y a un temps, combien de temps était-ce? un jour? une semaine? un mois? un an? je ne pourrait le dire...

Mais cela c'est passé...

Oui, le soleil était arride, mon père venait de mourir... oui, et moi je commencait enfin ce que tous attendent: pouvoir manier la lance.
Ma lance... celle de mon père...

Oui...

Alors que le soleil était plus ardent que jamais, comme si le souffle du vent ne pouvait pas transpercé le mur invisible de la chaleur. Alors que j'était arrivé à faire tomber mon adversaire, le garde de la tour de guet tomba, transpercé par une flèche. Il n'avait pas pu emmetre le moindre cri, il était transpercé par une flèche en plein dans la gorge, quel dommage, lui qui me donnait toujours un peu d'eau quand je passait près de chez lui... Je voyais pour la première fois un mort devant moi, mes yeux était paralysés sur sa bléssure, j'aurai voulu le pleuré si un cor n'avait pas sonné au même moment.

On regarda autour de nous... rien.

Puis comme une tornade des cheuvaux sortirent du Soleil comme des démons, tuant et écrasant tout comme la tempête de sable...
Un homme monté me chargea...
J'était effrayé, mais je revins à moi juste à temps: l'homme levait son sabre...
Avec ma lance, je réeussi à le désarçonné, l'homme plongea dans le sable et se releva.
Il ne semblait pas énervé, juste sonné par le coup reçu.
Alors il chargea, les mains levées, prêt à tuer, mais sa technique était facile à parer. Par les extrémités de ma lance je le fit tomber à terre, l'homme étouffa un cri, puis en sentant mes forces me rendre fier je sautai en l'air et j'abbati ma lance en plein dans le coeur du pauvre homme.

C'était la première fois que je tuais un homme, je n'était pas effrayé, juste... étonné, comme si un serpent grossissait dans les veines et disait:
- Bien, je suis si fier!

Puis je voulu rentrer dans la mélée...

Et me voilà ici, dans un désert qui n'avait pas de fin, et dans un terre qui n'avait pas d'eau, c'était la terre de la mort!

J'errai dans le désert, mes vêtements déchirés, la gorge sèche et la vue aveuglée par le vent et par la poussière, j'ai passé toute la journée a marcher.

Quand la nuit vint, comme une couverture qui peut vous endormir pour toujours, je ne me couchai pas, je ne voulais pas sombrer dans l'oubli de ma vie, je voulais rester ici.

En me réveillant d'une sorte de somnolance, j'aperçu quelque part au loin des formes étranges, commes des Géants. Chacune de mes visions me rendaient de plus en plus faible, mais je marchait là ou les formes marchaient, et je criais, ce que je disais? je ne le sais pas, c'était comme si je parlais dans l'eau... comme si je parlais, mais que ma bouche ne voulait pas remuer.

Le Matin suivant j'était étendu sur des landes pures et lisses, sentant le sable chaud et dense autour de moi. Je sentais mes yeux quitter le sol sur lequel mon corps était étendu, et s'approchant du ciel qui leut souriait de leur oeil unique.
Alors que l'oiel m'embrasait de toute sa splendeur dorée, elle fût couverte par des formes indisctintes pour moi... puis ces formes s'épaissirent puis couvrirent tout le ciel et tout ce que je pouvais voir...

Quand mes yeux s'ouvrir, j'eu l'impression que j'était en train de voler, je me sentais si bien, comme si j'était couché dans un des lits des Rois de la Grande Cité. Comme si une flamme en moi murmurait, murmurait et ronronnait, contente de sentir le vent sur ma peau... j'était en vie...

Trois hommes s'approchèrent, comme s'ils voulaient voir chaque détail de mon visage.

Je croyais que c'était des Dîmlhoki qui étaient venus pour jouer avec leur proie, agonisante et mourante, mais pourquoi me soigner?

Quand je fus sur pied (donc tout de suite)
L'un des hommes me dit que j'était dans un petit camp près d'un Oasis, en plein dans le Nâfarat. Ce camp était magnifique, les palmiers et les tentes semblaient embrasées... comme mariés.
Ce camp appartenait à un chef.

Les Hommes prirent soin de moi, j'était affaibli, et ma voix me semblait terne, comme si je parlais avec du sable dans la gorge, j'avais un blessure étrange sur mon épaule, une sorte de S taillé très finement.
La blessure guérie, je pû me rendre aux activités du camp.

Principalement, le camp abritait des guerriers très expérimentés, je commençai donc sous les railleries des autres à m'entrener avec un adversaire coriace.

Le Soir venu, j'était mort, mes muscles semblaient trenspercés de flèches et mes bras semblaient écrasés par des rocs.

Ainsi je restai humilié pendant longtemps aux yeux de ces hommes. J'essayais de temps en temps de savoir qui était le chef du camp, mais on disait toujours qu'il ne venait ici que très rarement...

Un jour alors que je m'entrainais, l'homme me donna un coup de poing qui me fît tomber: les autres raillaient, et l'homme éclata de rire.
Cet homme était immense, son sabre aiguisé, ces muscles gonflés.

Alors sentant en moi une vibration de colère profonde je pris ma lance en main et je sautai en plein dans mon adversaire, prêt à tuer s'il le fallait....

Bon voilà le début, il va un peu vite, mais le reste sera plus lent, promis
Revenir en haut Aller en bas
http://www.games-workshop-fr.com
Invité
Invité




Le Journal de Mûrakir Empty
MessageSujet: Re: Le Journal de Mûrakir   Le Journal de Mûrakir EmptyMer 27 Juin 2007 - 0:20

Ah très intérrésent ces nom, puis-je m'en inspirais pour les ennemies du Gondor
Revenir en haut Aller en bas
 
Le Journal de Mûrakir
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
l'Anneau Unique :: Le Seigneur des Anneaux :: Background-
Sauter vers: